samedi 26 novembre 2022

La générosité est-elle possible?

C'est un débat qui revient de temps à autre. Par exemple, dans le don il y a la notion d'appauvrissement. Si je te donne quelque chose, j'ai moins de choses après qu'avant d'effectuer mon don. D'un point de vue très comptable, le don est simplement un transfert de propriété. Un moment avant je suis propriétaire de ceci ou de cela, un moment après, je ne le suis plus. Est-il possible de poser un tel geste dans le désintéressement? Qu'espère-t-on lorsqu'on se défait de quelque chose ou d'un montant d'argent? Est-il possible de n'espérer rien du tout lorsque nous effectuons un don? Est-il possible de n'espérer aucun retour personnel lorsque nous effectuons un don?

La générosité peut être abordée sous l'angle de la vertu. Sous cet angle le désintéressement est entrevu comme l'exercice d'une vertu et, paradoxalement, il se transforme en intérêt de la personne qui le pratique. Mais c'est abstraire le désintéressement de sa pratique. Les gens donnent et manifestement n'attendent pas de retour manifeste en contrepartie. Rappelez-vous: Vous faites la différence! 

François Poulin

samedi 6 mars 2021

Catherine Meyor (1956-2019) Mémoire de la générosité


 

"Nous avons tous vécu le caractère irréductible voire inéluctable d’un sentiment, d’une émotion, d’un désir. Nous avons aussi, tous, alors que nous vivions telle ou telle situation qui nous a transportés, fait l’expérience de la vanité d’un énoncé venant d’autrui — parent, ami, enseignant, compagnon — qui tentait de nous détourner de ce sentiment, en évoquant son étrangeté, sa dérision, sa stupidité, son insanité ou sa folie. Qui n’a pas, à cet instant, ressenti la radicalité de ce qu’il éprouvait, fait l’épreuve de l’impossibilité de changer ce qui était ressenti et alors de l’impossibilité de s’en défaire ? Mais encore, qui n’a pas ressenti au même moment la valeur de ce sentiment et entrevu la forme d’un monde ordonné par ce sentiment ? Et enfin, qui n’a pas cherché à nourrir ses sentiments, ses émotions et ses désirs par l’échange avec autrui, par la lecture, la musique, le théâtre ou le cinéma, etc. ?" Catherine Meyor, Comprendre l'affectivité

Catherine Meyor nous a quitté il y a deux ans. La mémoire de sa grande capacité d'accueil envers la communauté lors de ses années à l'Arche, de ses amitiés ici et ailleurs, de ses collègues de travail à l'Université Laval, à l'UQAM et dans le réseau de l'Université du Québec et ailleurs dans le monde, à l'Association de l'EAU, en France, ainsi qu'auprès des personnes en fin de vie de même que dans le monde du théâtre lors de ses dernières années, tout cela m'éclaire et m'habite.

J'ai eu le privilège de bénéficier de l'accueil personnel de Catherine pendant près de 20 ans. Un bonheur conjugal, intime, affectif, sentimental, humain et amical au cours duquel nous avons appris à nous apprécier et nous aimer. Les formes de notre relation ont évolué selon nos cheminements personnels et les circonstances professionnelles. Lors de la dernière année, alors que j'ai estimé que le moment était venu de le faire, j'ai eu la chance de lui exprimer mon appréciation d'absolument tous les moments que nous avions passés ensemble, de tout ce que nous avions partagé, y compris les moments plus exigeant au plan humain.

"L’affectivité me permet d’abord d’être, de posséder une identité. Elle me permet aussi de donner sens et valeur aux choses, elle m’ouvre un monde — pas n’importe lequel, faut-il le préciser ? — où je ne saurais vivre n’importe quoi : elle m’oriente ainsi bien plus qu’elle ne m’autorise, en toute liberté et au-delà de toute injonction ressentie, de choisir. En m’assignant une identité, elle fait de moi un sujet ; en me donnant l’opportunité d’expérimenter le sens et la valeur des choses, elle m’inscrit dans un monde différencié, « différant » ou encore marqué d’une esthétique donnée ; en me donnant à ressentir, elle m’astreint à l’épreuve de la joie, de la souffrance. En m’habitant, elle m’affecte en termes « pathiques » comme elle affecte l’image que je me forgerai en retour du monde dans lequel j’habite moi-même." Catherine Meyor, Comprendre l'affectivité

Maintenant, je souhaite partager une pensée ou deux à l'intention de ses étudiantes et étudiants, lectrices et lecteurs. Catherine a été une brillante intellectuelle et académicienne et je crois que vous apprécierez ces quelques souvenirs.

Lorsque Catherine corrigeait les copies des travaux de ses étudiantes et étudiants, elle s'installait à son bahut. Il y avait 4 piles: à corriger, le recto, le verso puis corrigés. Elle corrigeait debout, inlassablement, tant qu'elle en avait l'énergie, puis elle recommençait le lendemain. Pour le reste, je m'occupais de son confort.

Pour les mémoires, thèses de ses étudiantes et étudiants, articles, c'était tout aussi charmant. La table, les tables, bibliothèques, canapés se couvraient de piles variées, avec des notes ici et là, des post-it, des livres avec pleins de repères. Catherine travaillait avec entrain et sérieux. Parfois, elle partageait avec moi les passages les plus prometteurs. J'ai eu la chance d'être le premier lecteur de plusieurs de ses oeuvres. Son intelligence m'a toujours ébloui et ému.

Dans la deuxième moitié de sa carrière, Catherine s'est intéressée en priorité à l'expérience affective des étudiantes et étudiants, et des élèves de manière générale. Elle a découvert leur détresse et souffrance d'apprenant. Apprendre peut être intéressant et agréable, mais force est de reconnaître que bien que nécessaire, le parcours est exigeant.

On ne peut parler de l'amour de Catherine sans mentionner l'amour filial entre elle et sa mère. C'est le plus bel amour qu'il me fut donné de contempler. À toutes les semaines, Catherine prenait un quart-heure, une demi-heure pour parler au téléphone avec sa miata. Je les entendais dialoguer, elles étaient heureuses. Quel bonheur!

Catherine a été une formidable amoureuse et rétrospectivement, je comprends mieux le langage de son amour et de son affection. Dites-vous bien lorsque aurez l'occasion de la lire, qu'elle avait à cœur non pas de vous convaincre ou de vous expliquer, mais plutôt de cheminer avec vous.

Je vous souhaite une bonne journée!

François Poulin     

jeudi 21 février 2019

Vous faites la différence!


Les messages des organismes de bienfaisance vont bien au-delà des nombres. S'éclairant les uns les autres, les contenus caritatifs permettent d'approfondir la compréhension des besoins communautaires et des solutions disponibles de même que de prendre connaissance des transformations suggérées par les innovations sociales. Une éthique de la connaissance prend forme sur les réseaux sociaux dans laquelle les organismes de bienfaisance et leurs usagers ont beaucoup à dire.

L'attention que vous portez aux messages et les gestes que vous posez en ligne qualifient et articulent l’information caritative au Canada et dans le monde. Vos qualités personnelles et professionnelles ont une importance véritable. Votre discernement ainsi que votre enthousiasme permettent à d’autres personnes de se faire une meilleure idée du partage et de la générosité au XXIe siècle. Votre présence fait une différence!

Au-delà de la vie des mots, vos présences et échanges créent des amitiés en ligne qui sont bien réelles! Certaines sont professionnelles, d’autres philanthropiques et quelques-unes très personnelles. Chacune contribue à mieux connaître le monde. Je vous en suis reconnaissant et je vous en souhaite autant de tout cœur!

Je vous remercie pour vos abonnements ainsi que le soin que vous exercer dans la reprise des messages que vous jugez pertinents.

François Poulin

     Twitter: @Francois_Poulin et @Canal2Poulin
     courriel: francoispoulin2013@gmail.com

Professionnel du développement des organisations, du monde de l'éducation et de l'informatique, ma carrière me permet d'agir auprès du monde de l'innovation sociale et technologique.  Il me fait plaisir de réfléchir la technologie et de contribuer à la mise en valeur du partage dans les communautés par l'entremise des réseaux sociaux.


samedi 16 février 2019

Bienvenue au coeur du monde de l'innovation sociale et technologique


En 1983, suite à mes études collégiales en sciences et alors étudiant en philosophie à l'Université Laval, j'étais engagé comme assistant de recherche afin de documenter les liens entre l'informatique et la connaissance. Comment les technologies façonnent-elles nos connaissances?

En 1991, suite à mon perfectionnement professionnel en développement de la philanthropie dans le cadre d'une bourse J.W. McConnell de l'Association des directeurs et des directrices de développement des universités canadiennes, j'ai eu la chance d'entreprendre une carrière au carrefour de l'innovation sociale et technologique auprès d'une quinzaines d'employeurs et clients, comme gestionnaire, enseignant et intrapreneur.

Aujourd'hui, ce cheminement se poursuit. Je m’intéresse à toutes les formes de la générosité et du partage. Le développement d'internet et du Web ont mis à l'ordre du jour la question originale pour laquelle j'avais été engagé à l'Université Laval. Collectivement, nous avons appris que si les connaissances n'étaient pas disponibles sur le Web, elles n'existaient pas.

À l'ère de la 4e Révolution industrielle, nous découvrons que la diffusion des informations et des connaissances se heurte à la fragmentation de leur cohésion et véracité sur les réseaux sociaux. Cela atteint notre compréhension du monde de même que la vie de nos démocraties.

En quoi les mondes d'hier et de demain diffèrent-ils? En quoi se ressemblent-ils?

Quelle est la prochaine étape de développement de votre organisation?

Comment assurez un leadership ayant du sens?

Il existe des liens entre les innovations technologiques et sociales. Nous aimerions anticiper les liens de l'un à l'autre. Est-ce possible?

Vous aimeriez discuter vos méthodes de développement à la lumière du monde contemporain? Je suis disponible pour animer des rencontres, mobiliser et former vos bénévoles ou encore réaliser des opérations de levées de fonds et de philanthropie testamentaire.   

François Poulin


mardi 1 janvier 2019

250 000 influenceurs et décideurs

Bénévolat de compétence! Une guide bénévole met en valeur 
les collections du Musée des Beaux-arts du Canada à Ottawa.

Le saviez-vous?

Vous êtes 250.000 influenceurs et décideurs dans le monde caritatif! Ce sont les bénévoles clés des organisations caritatives canadiennes. D'une manière ou d'une autre vous aidez à disséminer les ressources financières, professionnelles et bénévoles de 86.000 organisations dont les missions visent 
  • l'éducation du préscolaire à l'universitaire;
  • les musées et bibliothèques;
  • les soins de santé incluant cliniques, hôpitaux et établissements spécialisés;
  • la vie spirituelles et leurs missions, et 
  • tout le domaine des services à la collectivité telles que les agences de Centraide ou encore les banques alimentaires. 

Ces 250.000 personnes que je circonscris comme groupe correspondent aux membres des conseils d'administration des organismes de bienfaisance.

Quel est leur rôle? Quel est votre rôle?

En ce début d'année 2019, je vous propose quelques pistes de réflexion:
  1. Tout d'abord, bien comprendre les besoins de votre communauté. Votre cause est un observatoire autant qu'un lieu d'action. Il y a de ça 50 ans, avoir un téléphone mobile était un besoin marginal. Aujourd'hui, c'est l'outil de base de la présence sociale. Autrefois tâche déléguée au personnel clérical, aujourd'hui toutes et tous savent opérer une application de traitement de texte. Le petit diabète d'autrefois est maintenant une situation répandue à grande échelle. Qu'en est-il de l'évolution générale du contexte dans lequel évolue votre cause?
  2. Une contribution importante des organismes de bienfaisance est la possibilité de documenter ces besoins selon des perspectives originales. Cependant, il importe de les fonder sur des faits, des mesures définies qui donnent un aperçu représentatif d'une ou de plusieurs situation. À cet égard, il ne s'agit pas que de citer quelques autorités morales ou scientifiques. Il s'agit pour chaque cause de constituer son savoir-faire de l'identification du besoin à sa résolution. Qui sont les bénéficiaires de votre cause? Quels sont leurs besoins? Comment identifiez-vous ces besoins? Comment les mesurez-vous?
  3. Les bénévoles sont au cœur de la réalisation de la mission de votre organisation. Bien entendu, suivre un protocole médicale ou enseigner demande du personnel professionnel. Quel(s) rôle(e) réservez-vous aux personnes bénévoles de votre organisations? En quoi les bénévoles de votre organisation font-elles/ils la différence? En quoi sont-elles/ils irremplaçables?
  4. Les ressources financières sont incontournables. Avez-vous bien définis vos objectifs de financement? Correspondent-ils aux besoins de votre cause et de ses bénéficiaires? Certaines clientèles et leurs besoins sont-ils prioritaires par rapport à d'autres? Votre stratégie de développement est-elle bien définie et évaluée régulièrement?
  5. Disposez-vous d'un rapport annuel? Les communications sont essentielles. Dès le début du XXième siècle il est possible de lire dans les journaux l'encombrement des boîte à lettres. Comment structurer la diffusion de votre documentation? Quels moyens de diffusion utiliser? Il s'agit de beaucoup que de trucs marketing. Pourquoi solliciter uniquement les personnes qui ont effectuées un don l'année précédente? Pourquoi solliciter aléatoirement des personnes sans lien connu avec l'organisation?
Il est important de se donner des modèles, de les essayer est d'évaluer continuellement les résultats obtenus et leur pertinence. Il existe plus de 5000 stratégies de communication répertoriées. Prenez le temps d'établir la vôtre et de la revoir aussi souvent que nécessaire afin de la renouveler à la lumière de l'évolution des besoins de vos bénéficiaires, de vos bénévoles et contributeurs caritatifs et subventionnaires publics et privés.    

Voilà quelques exemples de point de départ. Aimeriez-vous en discuter davantage? Écrivez-moi!

François Poulin









   

dimanche 9 décembre 2018

Joyeux Noël et Bonne Année 2019!


En ce mois de décembre, à la manière des cartes de bons vœux postales traditionnelles, je vous souhaite à toutes et tous une excellente période des Fêtes, Noël, Jour de l'an et toutes ces autres Fêtes que compose notre diversité.

Un remerciement à tous les organismes de bienfaisance et leurs équipes de communication en ligne pour les sites Web, blogues et micro-blogues sur les réseaux sociaux, le tout dans les deux langues officielles. Vous avez à cœur de bien informer et documenter vos auditoires. Au cours de la dernière année, parmi les quelque 400 fils d'actualité d'organismes de bienfaisance que je suis de manière prioritaire, j'ai été à même de constater une évolution dans l'art de la rédaction en ligne. Des blogues ou carnets en ligne mieux encadrés par des pairs, des micro-blogues moins réactifs et plus près des sources, enfin des sites plus facile à consulter et reprendre sur les différents réseaux sociaux. J'encourage tous les professionnels, bénévoles et amateurs de réseaux sociaux à poursuivre l'évolution de leurs techniques de rédactions et de diffusion de l'information caritative et des occasions philanthropiques offertes dans leur prolongement.

Au cours de la prochaine année, je mettrai davantage en valeur les contenus des sites des organismes de bienfaisance. 

Dans vos contenus, je cherche à mieux cerner les besoins de la communauté que vous desservez comme organisme de bienfaisance ainsi que l'occasion caritative que vous offrez en réponse.

De plus, je tente de mettre en valeur le bénévolat réalisé dans vos organismes de bienfaisance. Ici, je pense à trois choses: la première, la nature des tâches effectuées; la deuxième, les personnes qui y participent; et enfin, en quoi l'une et l'autre sont indispensables et irremplaçables.

Enfin, je m'intéresse à toutes les formes du partage et de la générosité. Quelle est la place de l'intérêt personnel dans le partage? La générosité se limite t-elle aux activités caritatives réalisées par les organismes de bienfaisance reconnus? Les campagnes de financement sont-elles seulement des recettes de sollicitation? Les contributions corporatives sont-elles des dons véritables? En quoi consiste la philanthropie de compétence?

Selon moi, il existe un lieu où chacun d'entre nous dispose d'une meilleure perspective pour observer, identifier et accueillir le besoin d'autrui au-delà de ce que les institutions peuvent faire. En même temps, les institutions sont mieux placées que nos individualités pour répondre à ces besoins de manière coordonnée à l'échelle de nos collectivités. Cela ne constitue pas la prémisse à l'ensemble de mes démarches intellectuelles et pratico-pratiques par rapport au partage et à la générosité, mais c'est tout de même une hypothèse en arrière-plan.

À titre de rappel, ma chaîne éponyme est le lieu de coordination de la diffusion de l'ensemble des messages des chaînes Franco Partage (@chari_t_01), Au féminin (@chari_t_02), Canadian Charities (@chari_t_03), Charity Lighthouse (@chari_t_04), Western Endeavours (@chari_t_05), Musées et jardins (@chari_t_06) et Bienfaisance Québec (@chari_t_07). Cela est vrai autant pour Twitter que Facebook.

J'accorde la préséance au contenu canadien, aux publications maisons de vos organismes ou de vous-mêmes si vous le faites personnellement et je recherche la présence de sources premières en tout temps, notamment lorsque des statistiques sont mentionnées.

La périodes des Fêtes est une importante pause et une occasion pour renouer nos liens familiaux et amicaux après une saison intense d'activités. Je vous souhaite d'être présentes et présents auprès des personnes qui vous sont chères et de bien profiter de vos foyers familiaux et communautaires.

Joyeux Noël et Bonne Année!

François


samedi 27 janvier 2018

Merci pour votre abonnement!




Bienvenue au cœur de l’innovation sociale et technologique!

Je travaille dans le monde des services technologiques. Vous pouvez également suivre ma plume au sujet des développements de la Révolution industrielle 4.0 sur le blogue de J Innovations inc., une start-up du secteur manufacturier innovant qui accompagne les entreprises dans leur transition vers l’usine intelligente.

Lorsque le temps me le permet, je m’intéresse à toutes les formes du partage en reprenant les messages de 400 organismes de bienfaisance du Canada et d’une trentaine d’agences de l’ONU. J'essaye notamment de mettre en valeur la francophonie canadienne et ses institutions. Les organismes qui désirent explicitement que leur messages soient repris s’abonnent à l’une des 32 chaînes du réseau 60 tweets sur Twitter ou Facebook. Leurs messages sont ensuite coordonnés et repris  jusqu’à concurrence de 60 par jour pour l’ensemble des chaînes.

Depuis le début de cette initiative le 1er juin 2015, plus de 43 000 messages d’organismes caritatifs ont été repris selon des critères rigoureux tels que la pertinence de l’information, la présence documentaire et l’origine de la source. Pendant la même période, le réseau a généré  1,5 million de lectures par mois. La capacité maximale du réseau de 4,5 millions de lectures par mois est utilisée à l’occasion pour des activités comme Mardi je donne, MuseumWeek ou Belle cause pour la Cause.

Je vous encourage à vous abonner aux chaînes suivantes :

Franco partage            Twitter     Facebook

Bienfaisance Québec   Twitter     Facebook

Au féminin                   Twitter

Canadian Charities       Twitter     Facebook

Charity Lighthouse       Twitter

Western Endeavours    Twitter


Votre contribution va bien au-delà d’un clic. Chaque lecture de message vaut environ 0,009$. À raison de 1,5 million de lectures par mois, votre contribution collective est de l’ordre de 13 000$. Mais il y a bien mieux. Vous exercez un jugement de pertinence et de qualité. Vous permettez ainsi aux organismes de bienfaisance de rejoindre des clientèles qu’ils ne peuvent joindre autrement. Comme vous le voyez, votre clic va loin!

Vous êtes maintenant 14 000 abonnées et abonnés à prendre part à l’initiative 60 tweets. Je vous remercie pour l’attention que vous portez aux messages des organismes de bienfaisance et les partages éclairés que vous leur accordez. Il me fait également plaisir de vous suivre, d’interagir et de partager sur mes chaînes d’analyse vos propres initiatives dans le monde caritatif et de l’innovation sociale, ainsi qu’en innovation technologique dans le prolongement de la Révolution industrielle 4.0. Également, j’en profite pour remercier les partenaires caritatifs, philanthropiques et professionnels qui me permettent de poursuivre cette initiative communautaire. 

François Poulin